La démarche de validation du visuel compte sept étapes. Ce processus signifie qu’un logotype respecte un certain nombre de contraintes. Si elles sont respectées, elles en facilitent l’exploitation.
L’image du logotype
En premier lieu, le logo est honnête sur ce qu’il représente. Les valeurs qu’il transmet sont positives. Surtout, il est représentatif des valeurs cibles et correspond au positionnement de la liste. L’utilisation des symboles, des couleurs et des formes est pensée de sorte à propager une image en adéquation avec le positionnement marketing de la liste.
La déclinaison du logotype
Le logo est conçu pour pouvoir être décliné sur tout support. Il reste reconnaissable, quelle que soit sa taille. Même inversé ou photocopié plusieurs fois, le logo demeure identifiable. Le logo ne comporte pas de détails. S’il y en a néanmoins, ils restent secondaires dans son identification.
Les couleurs du logotype
Il conserve sa nature en noir et blanc et ne s’appuie pas sur la couleur pour véhiculer les messages. Sur sa version en couleurs, les teintes criardes, trop sombres ou trop fades sont proscrites. Pour des questions de simplicité et d’unité, le logo n’utilise pas plus de trois couleurs, hormis les éventuels dégradés. Afin d’éviter des soucis d’impression dans certains contextes, l’équipe vérifie que le logo n’a pas de problème de densité de couleurs.
La forme du logotype
Le logo s’avère facile à décrire par les électeurs afin que ceux-ci puissent l’évoquer voire informer dessus. Il se révèle compact de façon à faciliter son emploi sur les supports de communication.
La composition du logotype
Il est visuellement équilibré. Chaque composant est aligné, centré, au fer à gauche ou au fer à droite, en pied, ou en tête. Si le logotype comprend à la fois une image et du texte, chaque partie complète l’autre. Il est recommandé d’éviter les détails complexes qui n’apportent aucune plus-value.
Le design du logotype
Le design général reste simple. L’emploi d’effets spéciaux, ombres, dégradés, effets de lumière est déconseillé. Ils posent trop de difficultés de déclinaison et d’adaptation d’un format ou d’un support à l’autre. Une version comportant ces effets peut cependant être réalisée en complément du logo officiel. Elle est utilisée dans les contextes qui le permettent. Les deux versions doivent rester similaires dans leur image.
Le logo s’avère facilement reconnaissable et mémorisable dès sa première visualisation. Il ne ressemble pas à un logotype déjà existant au risque d’entraîner une confusion et de subir des critiques.
La typographie du logotype
La typographie doit être lisible et facile à lire pour tout le monde. Pour des raisons d’unité et de simplicité, jusqu’à deux polices de caractère différentes au plus sont utilisées.
